Affiner mes jambes

Affiner mes jambes

Des jambes nettes, c'est bien, mais de belles jambes, c'est mieux !

Traitement de la cellulite et des grosses jambes : sculpter les formes, lisser la peau


Traiter la cellulite

Avant de songer aux différentes possibilités thérapeutiques, il est important de définir ce que l’on entend par cellulite et notamment par cellulite des formes (par exemple, culotte de cheval), cellulite superficielle (peau d’orange), grosse jambe lymphatique et enfin œdème veineux.

La cellulite, superficielle ou profonde, provient avant tout de la graisse (c'est une augmentation du volume des cellules graisseuses), et de l’eau provenant de la circulation veineuse et lymphatique.

La graisse et l'eau sont piégées dans des cloisonnements conjonctifs empêchant les échanges vasculo-tissulaires. La graisse profonde ou graisse des formes se situe dans des zones prédéterminées et sous dépendance hormonale : le bassin (fesses, culotte de cheval, faces internes des cuisses), les genoux, les hanches et le ventre.

Le tissu qui la compose est lâche et peut donc prendre du volume très aisément. Il s’agit de graisse de stockage, donc très difficile à perdre uniquement grâce à un régime. La graisse superficielle se situe sous la peau, elle est très cloisonnée (ce qui lui donne l’aspect de « peau d’orange »). Elle garde les mêmes localisations que la graisse profonde mais peut être diffuse dans l'ensemble du corps, surtout lors de traitements hormonaux.

Les traitements de la graisse profonde ou graisse des formes


Technique plus douce et moins lourde que la classique liposuccion chirurgicale : la
 L.P.A. (Lipolyse laser Progressive Ambulatoire). La particularité de cette technique est d’être progressive et entièrement ambulatoire. Elle associe une réelle destruction des adipocytes à la légèreté d’un acte exercé sous anesthésie locale pure, sans hospitalisation ni arrêt de travail. 


Suite à un examen en position debout, les zones à remodeler sont notées sur une fiche de stratégie de traitement. La première zone à traiter prioritairement est choisie avec la patiente. Après injection de sérum et d’anesthésique local (dont le but est à la fois d’assurer une anesthésie de la zone, de fragiliser les cellules graisseuses et de chasser le sang par compression des tissus graisseux infiltrés), la zone cellulitique est tunnellisée à l’aide d’une fine aiguille dont l’extrémité laisse apparaître la fibre laser.

Le tir laser provoque une rupture des lobules et une fonte des cellules de graisse. Le volume de graisse traité est volontairement limité pour éviter risques et suites.

Cette technique fine évite la formation de tôle ondulée fréquente lors des aspirations classiques. En revanche, il sera souvent nécessaire de pratiquer plusieurs séances (zones importantes ou plusieurs zones à traiter) et elle ne peut en aucun cas remplacer une liposuccion classique chirurgicale pratiquée sur plusieurs zones à la fois au cours d'une hospitalisation.

Lipolyse laser Progressive Ambulatoire

lipolis mollet

Régions traitées par cette technique ?

L'ensemble de la jambe (cheville, mollets, gros genoux, intérieur des cuisses, culotte de cheval), les hanches et le ventre mais aussi d’autres zones sur la partie supérieure du corps et notamment des bras.

Post-opératoire

En fin de séance (1 heure environ), la région traitée est maintenue par un pansement élasto-compressif à garder 5 jours et un panty léger pendant 15 jours.


Peu de complications ont été décrites à ce jour avec un recul mondial de plus de 10 ans. Cependant les complications de la liposuccion chirurgicale doivent être mentionnées puisqu’elles se situent sur le même territoire et dans les mêmes tissus : phlébites et embolies, infections, hématomes et pigmentation, irrégularités de surface. 


Les premières sont graves mais jamais décrites dans le cas de la LPA (petits volumes) ; les autres seront rectifiées lors de sessions suivantes. Allergies aux anesthésiques locaux.

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